Perdu dans le dédale
De mes pensées distraites,
Le doute en moi s'installe,
M'envahit, me maltraite.
Au bout du labyrinthe
De mes pensées impures
Je découvre l'empreinte
Des rêves qui me torturent
Besoin de respirer, d'eteindre mes neurones,
De chanter, de gueuler à devenir aphone.
Besoin de l'illusion d'une ivresse assassine,
De brûler cet encens au parfum cocaïne.
La folie m'emmena
Jusqu'aux rives du Styx,
D'où Charon me toisa
D'un glacial regard fixe.
Sans un sous dans les poches,
Condamné à errer
Entre rêves et reproches ...
C'est ma réalité.
Extrêmement touchant! ca me parle, ca ressemble un peu à ma réalité aussi
Rédigé par : julie | 14 février 2007 à 09:14
Magnifique et émouvant, Arnauld.
Que de sensibilité et de questions sans réponse...
As-tu pensé à écrire un livret de poèmes ?
Rédigé par : christine | 14 février 2007 à 09:30