Comme le temoigne cette mauvaise photo prise hier soir au bar le Metropole, j'ai une sale tete. Mon sourire un peu forcé n'enlevera pas la fatigue et le petit coup de blues sur mon visage. Le verre d'armagnac prouve quand meme qu'il reste de vrais raisons de vivre sur cette terre.
Trois mois que je travaille a Bruxelles et a part deux milongas et une cinquantaine de restos, je ne connais rien de cette ville en matiere de loisir. Boulot Boulot Boulot. Le gout d'un parfum feminin sur mon oreiller n'existe plus guere et j'en etais a me demander pourquoi je bossais autant et surtout que me restera t-il de ces années.
Deux choses ce matin m'ont redonné la peche. Tout d'abord une collegue qui travaille sur un gros projet a Paris (75 personnes pendant deux ans) m'a appelé pour prendre de mes nouvelles et m'informer qu'elle pourrait venir me donner un coup de main (miam) pour structurer la deuxieme phase de mon propre projet (zut ... c'est purement professionnel ;-)). Ce coup de fil m'a fait tres plaisir et j'ai apprecié cette solidarité entre personnes qui ont le meme job et rencontrent les memes difficultes ddans leur boulot mais aussi leur vie.
Un peu plus tard dans la matinee, j'ai recu une newsletter de 2xTango, avec une chouette video de tango prise au Club Gricel dans lequel je me suis rendu quelques fois au cours de mon sejour a Buenos Aires.
Je vous laisse profiter ... pendant que je continue a rever et me dire ... je sais pourquoi je bosse ;-)
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